Mes méthodes pour avoir l’autorité sur vos enfants (2 – 5ans)

autorite parentale

Entre 2 et 5 ans (environ) commence un âge difficile pour vous et votre enfant. c’est généralement à cette période que celui-ci va commencer à s’affirmer en tant qu’individu et à s’opposer à ce que vous lui demandez de faire. cela peut parfois dégénérer dans des crises de rage ou de frustration pour l’enfant au début. C’est à ce moment qu’il faut mettre en oeuvre les mécanismes pour avoir de l’autorité sur votre enfant. Voila mes méthodes « qui marchent » mise en place avec mon premier fils de 3ans. Ces méthodes sont en fait une synthèse de différents livres et de mon expérience « sur le terrain » :

autorite parentale

La base :

Soyez ferme et cohérent sur ce qui interdit de faire : si vous avez décidé qu’une chose est interdite (ex: regarder la télé le matin) il ne faudra pas céder.  si votre enfant réclame à cor et à cri la chose interdite, ne cédez pas. fixez vous une liste de ce qui ne doit pas être fait (sans être trop ferme tout de même car plus vous interdirez de choses, plus vous devrez faire la police) et tenez vous y. Autrement il comprendra qu’en insistant suffisamment (crier pendant 10 minutes par exemple, ou faire une crise) il pourra obtenir absolument tout.

Le mettre au coin ou dans sa chambre : si votre enfant est dans une mauvaise passe, et décide malgré tout de faire ce qui est interdit et commence à s’énerver, malgré vos explications répétées sur pourquoi cette chose est interdite, mettez le au coin. si il ne veut pas rester au coin, mettez le dans sa chambre, et dites lui de n’en sortir que lorsqu’il acceptera de faire ce qu’on lui dit. si il sort de sa chambre sans changer de comportement, je le menace de le remettre dans sa chambre et de fermer à clé. générallement la menace suffit pour qu’il retourne dans sa chambre tout seul le temps de se calmer. mais j’ai dû au début mettre la menace à execution et fermer la porte quelques minutes afin qu’il se calme. Aujourd’hui la simple phrase « tu te calmes ou tu vas dans ta chambre » suffit générallement à le calmer. parfois il va tout seul dans sa chambre pour se calmer sans qu’on lui dise rien.

La fessée ? : nous avons essayé une ou deux fois, mais on a constaté que ça engendrait des comportements violents chez lui (quand il etait vraiment énervé il essayait de taper). ce n’est pas un bon exemple, donc on a laissé tombé et on préfere le mettre au coin ou dans la chambre.

Le FELICITER quand il a un bon comportement : il a finit son assiette tout seul sans se plaindre, il a fait ce que vous lui aviez demandé immédiatement (ranger ses jouets par ex), ou il a juste été sage tout l’après midi : féicitez le systématiquement. montrez lui à quel point cela vous fait plaisir.

Mes actuces :

Répéter son refus : il dit par exemple  » NON, je ne veux pas aller au bain ». Dans ce cas, répétez son refus pour qu’il voit que vous avez bien compris, mais enchaînez sur une phrase ferme pour lui montrez qu’il n’a pas le choix « Tu n’as pas envie d’aller au bain, j’ai compris. Mais il faut se laver pour ne pas rester sale, Donc tu viens au bain maintenant s’il te plait. » (à dire avec un ton ferme)

Donner le choix entre le faire soi meme ou le forcer à le faire : quand c’est l’heure d’aller à table par exemple et que mon enfant refuse, je lui donne le choix suivant : « soit tu viens à table tout seul, soit c’est moi qui t’y améne ». au début il va tester ce que vous dîtes vous devrez donc l’y emmener (je range le jeu auquel il jouait, et  le porte calmement jusqu’a la table et l’y installe , même si il pleure). Ensuite il prefera toujours le faire soi même (à cet age les enfants adore faire les choses tout seul).

Compter jusqu’a 3 : légère variation de ce qui est expliqué plus haut, à appliquer quand votre enfant refuse de répondre  : « si à 3 tu n’es pas à table, c’est moi qui t’y amène », généralement à 2 il se décide à m’écouter.

A éviter absolument :

Les fausses menaces : dans les spectacles de guignol, j’ai déjà vu des mamans menacer leur enfants 5 ou 6 fois de suite de partir si il ne se calmait pas. rien de mieux pour saper son autorité que de laisser comprendre à son enfant qu’une menace finalement c’est du vent. Mieux vaut ne proférer aucune menace si on est pas prêt à la mettre en oeuvre. Donc il faut bien réfléchir à ce qu’on est pret à faire avant de dire une menace.

L’hésitation : si votre enfant sent une hésitation dans la consigne que vous lui donnez (un timbre de voix hésitant, un regard timide), il se jettera dans cette brèche pour ne pas vous écouter. quand vous lui donnez un ordre , faites le avec conviction (ça implique que vous réfléchissiez à l’avance sur le comportement que vous aurez si il ne vous écoute pas).

Les contradictions entre parents : si votre femme donne un ordre à votre enfant et que votre enfant vient vous voir pour essayer de trouver un autre adulte qui ne l’obligera pas à le faire,  ne réfléchissez pas et dites simplement : « fais ce que ta maman te dit de faire ». plus tard, vous pourrez discuter avec votre femme si vou trouvez que son ordre était injustifié, mais sur le moment , face à l’enfant, il ne faut jamais lui laisser voir un désaccord.

Et vous, c’est quoi vos méthodes ?

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22 Comments

  1. says: Nils

    Merci pour les bons conseils toujours bon à prendre ! Moi c’est pour dans 1mois le premier et je suis déjà sur ces questions dans la tête. Ce que tu dis à l’air très bien…

    Sans expérience j’ajouterai (vu chez mon frère) l’utilisation de la repartie légèrement sinique à savoir montrer à l’enfant que sa réclamation n’est pas cohérente ex : « c’est drôle je pensais qu’à 4 ans on ne faisait plus ça..  » dit de maniere tout a fait serieuse et vu sur mon neveu c’était très efficace (c’est qu’il a déjà de la fierté le petit homme) et présente l’avantage de lui faire accepter les choses sur un plus long terme

    @+

  2. says: Aude

    bravo et merci super Papa pour tous ces conseils;-)
    Pour moi, il manque un paragraphe hyper important:
    EXPLIQUER
    Expliquer à l’enfant pourquoi on lui demande de faire ou de ne pas faire la chose. Par exemple, je ne veux pas que tu mettes les pieds dans l’eau, sinon tu seras tout mouillé et ça m’ennuierait que tu tombes malade.
    LE RESPONSABILISER
    Zut, il pleut, j’ai oublié tes bottes. La prochaine fois, tu m’y feras penser?
    @+

    1. says: daute

      Il est important d expliquer mais attention à ne pas trop en faire non plus , en effet l enfantt va sentir votre besoin de vous justifier en permanence et peut ouvrir une brèche » manque de confiance en soi », le » c est comme ça marché aussi « tt depend de la situation .

  3. says: Jessica

    Excusez-moi de soulever une question peut-être aussi simple, mais pourquoi vouloir a tout prix apprendre à nos enfants à se soumettre à une autorité? Voulons-nous vraiment en faire des moutons obéissants? Ne pouvons-nous pas leur faire confiance en leur expliquant simplement que certaines choses qui nous dérangent ou sont dangereuses et en leur ouvrant la porte à la négociation? Les enfants sont bien plus intelligents que nous ne voulons le croire. Sommes nous si cruels que nous devons leur faire craindre leurs propres parents en utilisant des menaces, voire des violences qu’elles soient physiques ou psychologiques (heurter la sensibilité d’un enfant ne me paraît pas très « doux » comme traitement)? La preuve, vous avez l’impression que l’autorité fonctionne sur des adolescents, vous? Je doute…

    Mais bien entendu l’éducation reste un affaire privée et personnelle, et chacun fait comme il l’entend.

    1. says: ben

      Je pense que vous interprétez ce billet d’une façon erronée. il ne s’agit pas d’en faire des « moutons » mais de leur apprendre a respecter des règles. les enfants de cet age on besoin de règles et d’un cadre pour qui les structures. cela leurs donne des repères.
      Et vous avez raison, ils sont très intelligents c’est pour cela que les parents doivent être cohérents eux aussi avec leurs règles sinon l’enfant trouvera la brèche!
      J’approuve totalement les « A éviter absolument » et conseille aussi de valoriser l’enfant lorsqu’il fait quelque chose de bien, cela l’incite à bien faire beaucoup plus que les punitions.

      Ces conseilles sont pour des enfants pas des adolescents, ages différents -> maturité et psychologie différente -> méthodes différentes, la comparaison ne peut être faite.

    2. says: Christine

      Si les enfants ne se soumettent pas à certaines règles, c’est la gabegie et ce n’est pas dans leur intérêt: ils manquent de sommeil, la maison est un capharnaüm, ils mangent ce qu’ils veulent etc. Et si vous attendez qu’ils respectent ces règles d’eux-même et qu’ils les acceptent simplement parce que vous les leur avez expliquées, excusez-moi, mais je pense que vous n’avez pas d’enfants. Les enfants essayent toujours ne n’en faire qu’à leur tête et croire que ce sont de petits adultes raisonnable, c’est une erreur. Si les explications suffisaient, ça se saurait!

      1. says: daute

        Je suis d accord ds une famille il y a des règles chacun instaure sa propre charte , ns ne sommes pas tjs d accord avec la voisine ms un enfant à besoin de limite important pour qu’ il sente qu’ il ne ns laisse pas indifférent .

      2. says: Jessica

        Si, j’ai une petite fille, pour l’instant, ça marche. mais peut-être est-elle encore trop petite que pour me faire changer d’idéologie 🙂 Bon, j’essaierai vraiment de suivre mes propres principes d’éducation sans punition. Elle a 13 mois. Je reviendrais dans quelques mois vous raconter… XD

        1. says: Audrey

          Bonjour,
          Tout d’abord super papa avec ces règles de vie.
          En revanche Jessica, je pense qu’il faut un minimum de règles sinon tu vas te faire bouffer, il ne faut pas en faire des moutons certes mais pas des enfants rois non plus.
          Personnellement j’ai deux filles, des jumelles de 25 mois et elles me testent tout les jours et toutes les deux. quand je dit non j’en ai une qui pleure pour avoir ce qu’elle veut et l’autre fait ca mignonne en me faisant plein de bisous, mais je ne cède pas sinon c’est la jungle a la maison !!!!!

          Je pense qu’il faut des règles sans tout leur interdire non plus et leur expliquer un minimum de chose.
          Voila pour mon avis sur la question !!!

  4. says: aidi

    Merci, c’est super tous ces petits conseils,notre fille a 3 ans, et nounous retrouvons parfaitement dans ces méthodes: douceur et fermeté!!! sauf que depuis quelques mois ça ne fonctionne plus: »refus d’aller au coin », refus d’écouter, crises… rien n’a changé dans notre vie, notre ange de sagesse s’affirme et il nous est difficile de suivre la course!!!!

    1. says: H2O

      TROIS ans l’âge ou il ne mette presque plus de couche,ou ils veulent prendre leur indépendance, il commence à réaliser la vie en communauté et son impact sur leur petit monde. Ma méthode: Le VALORISER un MAX… il arrive à enlever ses chaussettes , je lui fait remarquer immédiatement comme il est grand, mon cheri c’est soit une pomme soit une banane mais tu n’aura pas de bonbon, et la il me regarde et prend une pomme, pendant que je la lui prepare je le félicite d’avoir fais un choix et pas un caprice!!! jusqu’à la elle fait ses preuves il es tellement content que je lui dise qu’il « est grand » Et honnêtement, nous les mamans ont à du mal à accepter qu’il grandisse. Ils ont eux nous nous devons simplement les accompagnés et garder à l’esprit qu’un ils deviendrons des adultes a leur tour…. a méditer

  5. says: Jean-Luc

    Bonjour,

    Je suis d’accord sur les grandes lignes, sauf pour la chambre. Je ne veux pas que mon fils associe la chambre à l’endroit de punition.

    J’ai un petit garçon de 22 mois, et on voit qu’il commence à s’affirmer. Je suis pour la méthode douce, même si parfois on pourrait me dire « il est fou, soit ferme!!! ». Je lui explique beaucoup les choses, j’essaye de ne pas élever la voix. Même si parfois c’est dur (je le fais aussi mais j’essaye de ne pas être un père qui élève la voix très fort pour tout et n’importe quoi).

    Il est obéissant en général, mais bien sûr pas à 100%. Mais j’avoue qu’au début on jouait « trop » avec lui. Il pense donc que beaucoup de choses sont des jeux. On a essayé 2 fois de le mettre au coin mais ça lui est égal. Maintenant son jeux « j’allume la tv » est fini, c’est quand on lui expliquait qu’il ne pouvait pas et qu’il y retournait systématiquement qu’on l’a mis pour la première fois au coin.

    Là il retourne son assiette et je ne comprends pas pourquoi. J’ai beau essayer de lui expliquer, de lui dire qu’il ne peut pas, ça ne change rien. Il le fait quand il ne veut plus. Alors maintenant quand il fait ça, je le descend de sa chaise et ne lui donne plus rien. Alors là il veut remonter dans sa chaise et mange encore. Mais quand il ne veut plus, il recommence. Et moi aussi et ensuite il ne veut plus remonter. Une idée ?

    Etre papa est le plus beau métier du monde, mais aussi le plus fatiguant parfois 🙂

    1. says: papa

      le fait qu’il retourne l’assiette est clairement un acte de défiance. il faut lui faire comprendre qu’il y a des limites.

      Ce que je ferai :

      en début de repas, je lui explique calmement que c’est ça n’est plus acceptable et que si il le refait je serai obligé de le mettre au coin (vous avez raison, pas dans sa chambre forcément, mais dans le couloir)

      Il va probablement tester et le faire, donc il faut le mettre au coin. laissez le entre 5 à 10 minutes au coin si besoin, pour qu’il comprenne clairement que c’est désagréable.

      Quand il revient à table, vous pouvez lui demander calmement de nettoyer et l’aider à le faire.

      repetez la punition aussi souvent que nécessaire, tout en lui expliquant calmement les raisons et que vous n’y prenez aucun plaisir mais que vous n’avez pas le choix, il y a des limites, des règles à la vie en communauté.

      Le tout est de rester calme et ferme.

      1. says: karen

        Bonsoir,
        j’ai un garçon de 22 mois. Il me teste à longueur de journée. Vivant seule avec lui, je suis épuisée.
        Je lui dit non, crise de nerf incroyable, il se jette se met à hurler pendant 20 minutes au moins du coup je le prend et le met dans la chambre le temps qu’il se calme et je lui parle en lui disant que son comportement n’est pas acceptable. Cela fonctionne mais c’est épuisant, lorsqu’on est dehors comme il s’est que nous sommes regardés c’est pire.
        On me parle de pédopsychiatre, d’un ostéopathe. Il est très vif, c’est peut être moi qui n’arrive plus à suivre son rythme et du coup je suis fatiguée.
        J’ai des moments très agréables avec lui et heureusement, mais c’est dur.

        1. says: Thierry

          Bonjour Karen,

          Ne désespérer pas! Je me doute qu’élever un petit bout toute seule n’est pas de tout repos! Nous avons une petite fille de 3 ans qui est une vrai petite diablesse… et moi-même certain soir, je suis fatigué a me dire que j’ai passer toute ma journée a lui dire non. Cependant, c’est le résultat qui compte! Quand il aura compris les règles et les respectera, cela sera une victoire non-négligeable pour vous. 22 mois me semble encore un peu petit pour lui faire appliquer beaucoup de règles mais peut-être pouvez vous commencer par quelques simples…
          Pour le cas des crises a l’extérieur, je ne me permets jamais de juger les parents dont un enfant crise car je suis passé par la! Le regard des autres, je m’en tamponne si je peux me permettre 🙂 Généralement, l’enfant continue s’il voit que vous êtes embêté par son comportement ou que cela crée une réaction chez vous. Avec ma fille, généralement, je lui disais que cela ne faisait rien qu’elle crie et qu’elle pouvait bien continuer, c’était elle que les gens regardaient, pas moi! Au bout de quelques fois, plus de crises… Ce que nous faisons avec ma compagne quand nous allons dans un lieu public, avant d’y entrer, nous lui expliquons ce que nous attendons d’elle: bon comportement, ne toucher a rien, donner la main,… avec calme, bien en face et juste a ce qu’elle ai bien compris et cela fonctionne parfaitement.
          Je finirai par une petite remarque concernant l’ostéopathe. Notre fille est née par césarienne et ce genre de naissance est plutôt vécue comme un petit traumatisme pour l’enfant (et la maman aussi d’ailleurs!..). On nous avait conseillé d’aller chez un osteo et nous l’avons fait. La petite qui avait des problèmes de reflux et autres ont été solutionne au fur et a mesure des visites. Je ne peux que vous conseiller de vous y rendre mais il faut bien le choisir. Notre osteo ne « craque » jamais les gens et est très douces avec les enfants!
          Bon courage pour cette année 2014

  6. says: claire

    Bonjour,

    J’ai lu très attentivement vos conseils qui me semble parfaitement censés avec la manière dont je veux élever mon fils.
    Cependant, il m’arrive par moment de ne pas Savoir comment réagir. Par exemple depuis plusieurs mois mon fils chouine dés qu’on lui refuse quelque chose, et me fait du chantage quand je le dépose à la crèche, du genre je suis triste ou j’en ai marre… J’avoue ne pas trop savoir quoi lui dire par rapport a ça…si vous avez une idée je suis preneuse

    Depuis deux jours je lui parle beaucoup, il a trois ans , et j’essaie de le rassurer de lui expliquer qu’il faut parler plutôt que chouiner et ce matin il c’est enfin réveillé sans râler ! ! Un pur bonheur! Nous avons passé une très bonne matinée sans « caprices » sauf quand il fut l’heure d’aller a la sieste… Là de nouveau une colère il se roule par terre etc…. Donc je vous pose la question sachant qu’il fait ça tout les jours que faire face a ce comportement ?

    1. says: papa

      Je fais face aux même problème de « caprice » vis a vis de mon deuxième enfant qui a maintenant 3 ans. Il faut croire que c’est l’âge qui veut ca. Je dirai qu’il faut continuer a faire preuve de patience, a lui explquerles choses, mais si il ne veut pas comprendre l’ignorer dans ses caprices. Éventuellement le mettre dans sa chambre. Lui de expliquer quand il a finit son caprice, et tout finira par s’arrêter (j’en veux pour preuve mon premier enfant qui a maintenant 5 ans et qui ne réagit plus du tout comme ça).
      Bon courage

  7. says: laetitia

    Bonjour,

    Mon fils de trois ans fait de plus en plus de caprices. Il a du mal a gérer sa frustration lorsqu’on lui dit non ou qu’on lui demande de faire quelque chose, il nous tape, ne reste plus au coin lorsqu’on le punit, quitte sa chambre avant de se calmer.
    hier, en allant le chercher à l’école, il ne voulait pas partir et s’ est mis à hurler et à me frapper au visage. J’étais très en colère et très triste, j’ai pleuré pendant le trajet de retour en voiture. Arrivés chez nous, il m’a fait une colère pendant 3/4 d’h. Il ne voulait ni se calmer, ni obtemperer, alors que je restais calme. Il voulait faire ce qu’il avait décidé.
    Je sais qu’à l’école tout va bien et qu’il est très apprécié des instituteurs et des enfants.
    que dois-je faire? Je ne peux plus supporter cette situation qui dure alors que c’était un petit garçon d’ordinaire plutôt « cool ».
    Qu’en pensez vous?

  8. says: noel

    Bonjour j ai lu avec beau coup d attention vos démarches et astuces afin d instauré selon moi pas de l autorité mais de l autoritarisme…cependant cela est mon avis…parent de 3 enfants…une ado ..3 ans et 5 ans…la question c est posé du comment faire… J ai choisit la cooperation..un cadre ferme mais flexible selon mes acquisitions et surtout de l ecoute..oui ce n est pas facile tpus les jours et je je ne parie pas sur l adulte que je voudrais qu il devienne..notre choix de parents a été de le laisser explorer..expliquer.. Accompagner..mais surtout de les respecter..refuser le terme caprice..nous nous sommes appuyé sur des faits scientifiques en ce qui concerne le développement cérébral…nous utilisons des moyens visuels..tels qu un collier a medaillon rouge et vert..rouge pour la limite…nous acceptons qu ils ne veuillent pas…comme nous adultes…nous favorisons le contact physique…les parties de chatouolles pour désamorcer une crise..l humour…cela est notre méthodique… Pour nous elle fonctionne mais devons aussi nous remettre en question..faire du lâcher prise…pour conclure je dirai qie chacun fait ce qu il peut avec ce qu il a ..belle journée a vous

    1. says: Viguier

      Bonjour, pourriez vous m’expliquer votre demarche avec ce collier?mon fils de 4 ans est parfois incompréhensible, il nous defie: parexemple’il dit a son père: c’est pas a toi que je parle, ou tu ne me fais’pas peur.ou il l’ignore !
      Lorsque l’on se fache, il part en râlant en voulant avoir le dernier mot.parfois, il se met a pleurer, me dit qu’il a mal au coeur.je lui explique qu’in aime pas le disputer,mais qu’on ne peut pas le laisser crier sur son frere ,ou le laisser jeter les jouets.il me dit qu’il est d’accord pour faire un effort. Mais a peine revenu,il recommence !

      Je prends les conseils de tout le monde,mais je veux aider mon fils a comprendre les limites pour qu’il puisse vivre dans le respect des autres.

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